D’Apollinaire à Lou (XXe siècle)
Première guerre mondiale. Apollinaire, mobilisé, sur le front, écrit à sa maîtresse volage restée à Paris des lettres et des poèmes (comme celui-ci) pour qu’elle ne l’oublie pas…
ADIEU !
L’amour est libre il n’est jamais soumis au sort O Lou le mien est plus fort encor que la mort
Un cœur le mien te suit dans ton voyage au Nord