Woody Allen a raison : il n’y a pas plus romantique qu’une promenade sur les quais de Paris, un soir d’août :
quand les joueurs de saxo font résonner leurs solos face à à la cathédrale Notre-Dame divinement éclairée (la plus belle vue sur la cathédrale et surtout sur son chevet se déguste à partir du port de Montebello, plan).
Nous arrivons bientôt au fameux square Tino Rossi (plan) où une foule se presse et ondule aux sons de chansons cubaines ou africaines. L’ambiance est là aussi très bon enfant et, l’obscurité aidant, nous nous laissons aller à onduler aussi…
A minuit, le « DJ » donne rendez-vous à la foule pour le lendemain et nous refaisons le chemin inverse en flânant, heureux d’avoir surmonté nos inhibitions. Ça et là des groupes d’amis finissent leur pique-nique tardif, des amoureux se bécotent, des apprentis musiciens s’exercent devant un public indulgent, et personne ne semble pressé de rentrer se coucher… ce que nous finissons néanmoins par faire, car d’autres aventures nous attendent demain !
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